L'œuvre aborde la politique de l'eau et la reconstitution de la mythologie. Le point de départ est de réinventer le mythe de Didon et de questionner sa résistance à l'oppression et au territoire. À travers des spéculations numériques et matérielles, le film aborde la notion de mutation forcée et de fabrication historique dans les sphères écologiques et sociales. En suivant les histoires et les cycles de l'eau, « The Dido problem » aborde la question de la circulation complexe de la matière et du désir et de la façon dont elle est mutée par l'exploitation.